Le sulfureux Chalabi s'est illustré en 1989 par un très grandiose « siphonage » des comptes de la banque jordanienne Petra qu'il présidait, avant de fuir le pays - avec 300 millions de dollars. Il est soupçonné d'être proche de Glencore, compagnie aux pratiques jugées douteuses par l'establishment pétrolier, et accessoirement de jouer le jeu de Téhéran, du moins quand cela l'arrange. Le retour aux affaires de cet aventurier à de quoi inquiéter, et le tandem qu'il va former avec al-Uloum sera extrêmement surveillé par le premier ministre Jaafari, par l'Assemblée nationale, mais aussi par les compagnies étrangères.
More: www.jeuneafrique.com/edito.asp?art_cle=LIN07085mainbrionro0
mardi 11 décembre 2007
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire